Traditionnellement cultivé dans les terres sablonneuses de l’île d’Oléron (où on l’appelait aussi « rosé des sables »), des écrits le mentionnent dès le XVIIIe siècle. Au XIXe siècle, on « l’exporte », en vrac ou en tresses, vers La
Le Saint Turjan, l’oignon de Saint-Trojan





















